J’ai trouvé particulièrement fort le moment où il croise la “touffe argentée” dans le couloir : c’est bref, mais ça crée immédiatement une attente, un lien mystérieux avec l’autre personnage. Et toute la partie avec les voix est glaçante ! Leur répétition, leur rythme, la manière dont il cogne sa tête contre le mur pour les faire taire… Tu décris la détresse psychique avec un réalisme percutant.
Féeclochette
-
Il y a 3 jours
Ça me touche beaucoup. C'est la première fois que je publie ☺️
2 commentaires
Aurélie C. De Wasme
-
Il y a 3 jours
Féeclochette
-
Il y a 3 jours