Petit coup de pouce. Si tu sais liker chez moi aussi 😁… bonne chance

Ce chapitre nous fait renconter Prianka, la 2e figure maternelle de Katalina. Elle semble à l'écoute et douce, parfaite pour Katalina qui a besoin de vider son sac. Pour ma part, je ne suis pas gênée par le côté redondant de rappeler encore le procès, l'affaire et ce que ressent Katalina. Par contre, finalement être en Grèce ne l'apaise pas tant que ça donc peut-être nous faire ressentir un regret ou une culpabilité d'avoir pris la fuite suite au procès, ou un truc du genre. Ou une de ses soirées où elle se défoulent mais sans que ça lui apporte vraiment ce dont elle a besoin, l'oubli.

La vie des femmes dans notre société est encore loin d'être à égalité de celles des hommes, mais elle a tendance à s'améliorer.

Moi aussi j’ai envie de tout écraser sur mon passage quand je pense à toutes ces injustices.

C'est bon d'exploiter ce côté humain et sensible du métier d'avocat. Et pour les récits locaux, j'ai de plus en plus envie d'aller en Grèce 😂