Les règles sont simples : si une infraction est commise, seulement sous certaines conditions il y a la possibilité de mettre en garde à vue le suspect — et la police à 24h pour monter un dossier à présenter au ministère public avant de devoir laisser couler. Enfin, c’est ainsi que cela s’est toujours passé. Mais lorsque dans le quartier de cette ville, déjà sous le feu des projecteurs par la drogue, une jeune femme aux mains ensanglantée est retrouvée aux pieds d’un homme décédé, tous ont su que la nuit ne serait pas calme. S’ils sont parvenus à l’enfermer au poste, la suite risque d’être plus longue que prévue. Car le doute de sa culpabilité persiste et bien que les preuves s’accumulent et que ses agissements poussent en direction de sa culpabilité… ils ne les auront pas toutes avant les 24h prévu. Lorsque ses paroles n’ont qu’un sens sibyllins, que les membres de la police et l’ordre juridique se montent les uns contre les autres et que la prévenue prend la fuite… de vieux démons du passés ressurgissent. Les profils se dessinent et les suspicions autour de l’assassinat de cet homme s’accumulent. Une course poursuite se déclare en cette nuit déjà rouge de sang, mais ils n’ont pas le choix. 24h, c’est ce qu’ils ont pour la retrouver et terminer le dossier — et ils ne peuvent pas se retourner… sauf si leurs secrets transpercent la part du mensonge. Et elle, elle joue sans pitié avec leurs âmes pour des raisons inconnues et une vérité bien sombre. Une course contre la montre est lancée et le temps leur est compté. Désormais chacun pour soi jusqu’à ce que le vrai coupable ne soit démasqué… ou les ?