tu sais capter le lecteur. Le langage est soutenu avec des formes grammaticales devenues rares. C'est pourquoi j'ai été étonnée de voir l'expression "à tout casser" et "fout le camp" au milieu.

Ce trajet fut très réaliste. Tu retranscris bien sa longue durée, sans pour autant apporter un rythme trop lent dans la narration. C'était une bonne idée cette double scène avec le chef cuisiner. Le fait qu'il y revienne une seconde fois montre vraiment cet aspect. En revanche, j'ai encore du mal avec le personnage Edgard. Il peine à se rendre aimable auprès des autres personnages, mais aussi auprès du lecteur (enfin, moi). Son comportement très arrogant, presque agressif parfois, ne peut être justifié simplement par sa colère due à son transfer. Il y a-t-il un élément passé sous silence que l'on découvrira plus tard ?

Je comprends la difficulté que tu rencontres avec Edgard. Non, il n'y a pas vraiment d'évènements passés sous silence qui justifieraient un tel comportement. A vrai dire, j'adore commencer mes histoires en dépeignant des personnages principaux infectes, et les humaniser progressivement.

Il y a bon nombre de matières enseignée à la LAM, rien ne garantissait à Edgard de l'avoir elle spécifiquement...

Qui sait, peut-être en découvrira-t-on plus à ce sujet...

Tu m'as fait trop rire avec "La tenue de Vides" Cela dit, je partage l'indignation d'EL Shepard 😂