JulieDauge La lutte 1 - Aliénor

1 - Aliénor

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25

25 commentaires

Elina_kever

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Il y a 11 heures

J’aime beaucoup l’ambiance qui se dégage. Un chapitre et on arrive déjà à cerner un peu la protagoniste, à voir sa personnalité. Tout ça avec une plume fluide ! Et surtout, j’aime le fait qu’elle se fiche du prestige des premiers choix que les autres s’arrachent pour faire quelque chose qui lui plait

Marie41

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Il y a 20 heures

Quel plaisir de te lire à nouveau ! Bonne chance 😊 Ce premier chapitre est alléchant, je me demande ceux que tu nous réserve pour la suite.

JulieDauge

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Il y a 13 heures

Merci à toi ❤️

Myra Antarès

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Il y a un jour

Ta plume est vraiment agréable à lire, ça coule tout seul ! Je suis curieuse de voir où tout ça va mener. Et je rejoins les autres avis : quelques passages un peu plus aérés rendraient la lecture encore plus confortable.

JulieDauge

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Il y a un jour

Merci pour ton retour. Oui j'ai été bloquée par ces put**n de 7000 caractères 😅

liaflandey

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Il y a 10 jours

Salut ! Je suis ton binôme pour le AUL de cette semaine. 😁 Ce premier chapitre pose Alienor comme conquérante : major de sa promo, c’est quelque chose 😜 Avec Six, tu construis une belle complicité un peu peste parfois. Pauvre Jean-Eudes 🤣 Ta écriture est fluide et agréable. J’ai suis curieuse de la découvrir à Marseille, tiens. Pour la forme du texte, tu devrais l’aérer un peu plus.

JulieDauge

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Il y a 10 jours

coucou, merci pour ton retour. Je passe sur ton histoire demain, sans faute. Je partage ton avis sur l'aération, je le fais dès que je ne suis pas bloquée par les 7000 caractères ^^

cha_chounette

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Il y a 11 jours

Après ce premier chapitre, je sens qu'Alienor et sa copine Six vont me plaire.

Roumet Sébastien

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Il y a 11 jours

Il est, dans la littérature sentimentale contemporaine, des entreprises qui suscitent à la fois l’étonnement, la circonspection, et — osons le mot — une certaine délectation critique. L’ouvrage que nous présentent ici ces deux plumes, promptes à s’entrelacer avec une grâce parfois téméraire, appartient indubitablement à cette rare lignée d’œuvres où la collaboration ne se borne pas à juxtaposer deux sensibilités, mais tente de les fondre en un alliage que l’on voudrait harmonieux, sinon transcendé. Que l’on ne s’y trompe point : la romance à quatre mains est un exercice périlleux. On y risque l’hétéroclite, l’inconséquent, voire le discordant. Et pourtant, dans ces pages, on perçoit une tension presque chorégraphique, une volonté d’orchestration où chaque auteur, tel un instrumentiste soupirant d’être soliste, accepte néanmoins de se fondre dans la polyphonie commune. Il en résulte une prose qui, si elle s’autorise des élans parfois empreints d’une suavité excessive, n’en demeure pas moins travaillée d’un soin scrupuleux, comme si chacun des deux écrivains voulait offrir à l’autre un écrin digne de ses propres épanchements. Les amateurs de pudeur pourront juger quelques tournures d’une hardiesse rhétorique discutable ; les puristes y verront peut-être un certain affadissement des canons romanesques. Mais l’on se doit de reconnaître, sous peine de manquer à l’équité la plus élémentaire, que cette œuvre témoigne d’une sincérité narrative qui confine par moments à l’émouvant. S’il est vrai que la passion n’existe que d’être partagée, alors peut-être la romance écrite à quatre mains est-elle, par essence, la forme la plus honnête de toutes. En définitive, ce livre est moins une histoire d’amour qu’une tentative, parfois heurtée mais toujours vaillante, de faire cohabiter deux imaginaires qui, sans se confondre jamais, dessinent ensemble une cartographie singulière du sentiment. Et c’est précisément dans cette tension — subtile, fragile, presque ingénue — que réside, oserai-je dire, son charme le plus authentique.

JulieDauge

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Il y a 11 jours

Quelle analyse poussée monsieur roumet 🤣 j'ose espérer que tu as au moins lu 😁