On sort de la maison, mais le malaise reste accroché à nous et à elle. Tu continues de bien décrire cette tension flottante : on avance dans le chapitre, mais on reste prisonniers de la même inquiétude, exactement comme Annika.
J’aime beaucoup les petites descriptions sur l’ambiance du quartier. Elles sont fluides, visuelles, et ça m'a donné l’impression d’attendre avec elle dans la file et avec David, du coup.
D’ailleurs, les hommes de ton histoire me paraissent tous un peu étranges pour le moment, chacun à leur façon 😆. Entre André qui cache clairement quelque chose et le médecin qui balance ses problèmes sentimentaux, la pauvre Annika n’a vraiment pas de répit.
Mais ce passage la présente comme quelqu'un de bienveillant. Elle écoute David sans jugement, sans se plaindre, alors qu’elle aurait mille raisons de s’effondrer.
2 commentaires
Sandelina Antowan
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Il y a 8 jours