Ton chapitre, comme les précédents, fait planer un malaise persistant. Peut-être est-ce simplement parce que je suis beaucoup moins patiente qu’Annika, mais sa retenue, sa façon d’encaisser, me comprime la poitrine. Elle n’est pas dans l’hystérie ni dans la confrontation gratuite : elle observe, elle analyse. Et c’est réaliste. Qui ne ferait pas la même chose ? Tu réussis à rendre la collègue d’André ordinaire. Pas de séduction, pas d’attitude suggestive. Résultat on flotte dans un entre-deux. Est-ce une vraie collègue ? est-ce qu’elle vient parce qu’elle a un problème qui la dépasse ? Je le pense. Du moins, c'est ce que je ressens et non parce qu'il est question d'infidélité. j'ai comme la sensation qu'elle se raccroche à André par besoin.Sinon, sa venue ne serait pas logique surtout en se montrant devant annika. Quant à l’appel de David… je le trouve toujours bizarre. Un médecin qui appelle personnellement, la veille, juste pour confirmer un rendez-vous, cela sort du cadre. Quant à André, pour le moment, j'ai du mal avec ce personnage car à mon sens il ne fait pas les choses correctement. Même si c'est le boulot, il se doit de rassurer sa partenaire et là il l'a laisse dans le flou. Voilà me voilà à jour chez toi .