C'est un chapitre d'exposition très bien écrit. On en apprend plus sur le fonctionnement des murmures. Le point le plus fort pour moi est le moment où Louise découvre qu'elle peut non seulement utiliser les murmures pour communiquer, mais aussi, et c'est fondamental, leur dire "non". Le "bruit de vent, de porte qui se claque" est une métaphore visuelle et sonore parfaite pour décrire ce retrait. J'aime aussi beaucoup le contraste que tu établis entre la relation de Roxane aux murmures et celle de Louise. Pour Roxane, c'est un outil presque familier, une source d'anecdotes et de secrets qui enrichissent sa perception du monde et son travail. Pour Louise, c'est encore une puissance étrangère et potentiellement intrusive. Voir ces deux expériences coexister donne beaucoup de relief à ton système. Enfin, les petites scènes de vie quotidienne sont magnifiques. La "danse des matins", le moment d'émotion partagé devant la tombe de l'enfant, la façon dont Roxane adapte son rythme à celui de Louise... tout cela construit leur lien de manière très crédible et touchante. On sent une confiance et une intimité qui s'installent, bien au-delà des mots.

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A jour ! 😊

À jour 🌷 🌷