Le contraste entre le comportement de Gaspard en présence de la dracolière et celui en présence de sa famille est savoureux ! Très réaliste. Sinon, je ne suis pas une experte en virgule, mais à certains endroits, leur utilisation pourrait fluidifier davantage la lecture, qui est déjà très aisée.

Il y a toujours une aussi chouette dynamique entre tes personnages. Surtout avec l'arrivée de Pierre où on sent bien les éclairs dans l'air. Le grand-père semble en retrait, mais il garde un oeil attentif sur tout, un peu comme son petit-fils. Finalement, c'est le premier dialogue avec Bérénice que je trouve un peu compact. Il transmet plein de choses, mais l'aspect bloc risque de nous faire un peu glisser dessus. Après ce n'est pas non plus un souci. PS : Désolé pour le silence, we chargé, j'espère avoir le temps de finir d'ici mercredi.

Intéressant cet affront! Les échanges vifs apportent une certaine dynamique entre les personnages, ce qui était moins visible dans le chapitre précédent.

Cette fin redonne du dynamisme à l'histoire, on a envie de savoir nous, ce que l'ébéniste va lui demander ! Je suis d'accord avec un commentaire précédent je m'étais imaginée un cadre très paysan, une petite ferme en matériau naturel, il va falloir que je me l'imagine de la bonne façon pour la suite ;)