Jean-Marc-Nicolas.G Le reclusoir d’Élisabeth de Beaupond. (La pénitente.) Le petit Maurice Libéré.

Le petit Maurice Libéré.

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5 commentaires

Sand Canavaggia

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Il y a 4 ans

Maurice rentre sur le cheval de Jean, la population est en liesse et tout s'ajoute pour le glorifier...Ce qui devait sonner comme du repos, montre un Jean un peu, beaucoup maladroit et ses hommes bousculent un peu son esprit, il prend pleine conscience et court après Amélie avec son cheval et là du merveilleux, des aveux… Le père de Maurice remarque quand même quelque chose de changer chez son fils...Il est un peu...beaucoup... sous ce qu'il doit garder et ne rien dévoiler… De la ripaille à François, j'ai tout noté, pris dans ma tête et je vais voir si sa réflexion influe sur l'histoire. Je te remercie pour ce nouveau chapitre et te souhaite une bonne continuation ;)

chocotean

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Il y a 4 ans

Joli, maitre Jmng, joli. Bel épilogue pour ce chapitre. Le bonheur des uns côtoie le destin des autres. Tu nous entraines toujours avec toi, sur tous les chemins de nos vies, et tu explores deux fois encore (je viens de lire les deux derniers chapitres d'un coup) toutes les facettes de l'ame humaine. J'adore! Quel plaisir de retrouver Elisabeth. La dame est de retour, et nous entrainera bientot sur de nouvelles aventures si je me fie à ce que tu nous as dit l'autre jour. Rendez-vous donc pour ces prochaines pages. Tu maitrises impeccablement les sentiments, tu nous dévoiles dans ces chapitres, une certaine candeur, ton ame d'enfant qui ressort et nous éblouit à travers l'amour que se portent notre chevalier et sa dame. Bravo!

Jean-Marc-Nicolas.G

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Il y a 4 ans

Merci de ce gentil commentaire Chocotean. Pour mon âme d"enfant, c'est ce qui me reste comme héritage du passé, des parents et des grands parents aimant et un beau château "abandonné" comme aire de jeu.Une grande sensibilité? j'ai presque envie de te dire; une GROSSE sensibilité,pour rendre cette forme de tendresse en une fragilité ,nature inadéquate parfois pour affronter les événements de la vie. Alors bien sur on affronte, mais on s'effrite.Et oui, c"est en observant les personnes,en les écoutant aussi mais aussi en voyant et en écoutant ce que l'on ne voit pas et ce que l'on entend pas que l"on comprend bien la nature humaine. Bon nous, on continue ? J'éditerai encore quelques chapitres après la clôturé du concours pour ne pas rompre subitement notre partenariat. Bonne soirée ma chère Chocotean

HaliBerrah

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Il y a 4 ans

Pow Pow, là je dis rien, j'aime toujours à fond mais que c'est chamallow, et toujours tellement agréable au petit cœur tout tendre et tout fragile que je suis de te lire, en reniflant, un mouchoir large comme un drap pour prévoir la suite dans la mélancolie de François.

Jean-Marc-Nicolas.G

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Il y a 4 ans

Je t'avais dis de préparer des kleenex. Petit cœur d’artichaut