Jean-Marc-Nicolas.G Le reclusoir d’Élisabeth de Beaupond. (La pénitente.) L'ivresse de Jean.

L'ivresse de Jean.

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6 commentaires

Sand Canavaggia

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Il y a 4 ans

Tu me donnes là encore quelque chose en opposition dans le texte avec ce que l'on attend même quand on traduit un événement, c'est ce que j'appelle "les fautes permises", celle qui déclenchent les sourires et les rires, sans conteste ce qui lie à ton écrit entre le zozotage de Bertrand et l'ivresse de Jean c'est assez bon et cela fait du bien au lecteur car bien souvent quand on écrit, on s'enfonce tellement dans nos textes que l'histoire dans son fond prend le pas sur notre plaisir de l'écrire, visiblement tu n'es pas atteint par ce mal et dieu seul sait comme l'écriture à 7000 pourrait faire perdre pied dans ces vagues d'humour, de tristesses, d'émotions, etc; que tu alternes avec majesté selon moi sans jamais perdre le fil de ton écrit. Bonne suite de ton écrit, merci de ce partage...encore un chapitre pour moi ;)

Jean-Marc-Nicolas.G

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Il y a 4 ans

Oui merci, je souhaitais intituler ce chapitre "Je zui zou zou zou don balcon, Amélie! Oui les 7000 caractères maximum imposés par chapitre est bridant dans l'élan, mais j'ai appris à l'ignorer. Je m'amuse en écrivant, dans le cas contraire je m'ennuierais et par conséquent je cesserais d'écrire sinon je serais mauvais.

HaliBerrah

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Il y a 4 ans

Mais zest ki le zaligot, ze l'est pas vu, zai bu auzzi un sweppes et toutes les lignes bouzent zest normal ? XD Lui stone et elle en colère c'est truculent, j'en veux encore. Je peux pas lire un truc pareil et restée sérieuse, tu m'as filée le bonheur day. mdrrrrrr

Jean-Marc-Nicolas.G

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Il y a 4 ans

Bein oui, je ne veux pas que tu garde de moi une impression de personne, triste, d'écrivain malheureux. J'ai écris du HaliBerrah, Tu ne te reconnais pas ?? Hihihi

chocotean

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Il y a 4 ans

Vous badinez sire Jmng, vous badinez. Entre une cuite, un cuit et deux cui-cui, vous vous amusez à nous ramener le beau capitaine un poil éméché. La damoiselle aura tot fait de nettoyer la situation, et regonflée à fond après les ablutions, les confessions va repasser à l'action. Bon, merci de réunir ceux qui s'aiment. Un chouia d'amour dans ce monde de brutes, il y en a bien besoin. Et puis j'aime parce que tu alternes les chapitres légers avec ceux plus plein d'émotions. C'est un plaisir de te lire et tu le sais. On attend la suite avec impatience. Que le concours se finisse bientôt n'est pas un problème puisque tu peux continuer tes aventures si j'ai bien lu, et que tu as, quoi qu'il arrive conquis le coeur de tes lecteurs. Belle soirée l'écrivain

Jean-Marc-Nicolas.G

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Il y a 4 ans

Oui votre Altesse je badine, je badine entre les cui-cui de la demoiselle et du damoiseau. Pour la continuité de l'histoire, Sand m'a répondu ? Je n'ai pas vu, je suis sur mes écris, en fait ma petite Chocotean en toute confidence, j'écris beaucoup, pour mon plaisir , je termine un condensé de nouvelles, que j'ai remodelé jusqu'à ce que je parvienne à obtenir ce que je souhaite. Je parle de l'ambiance des histoires.Celle d'un homme qui se réveille un beau matin dans un château, il rencontre des personnes accoutrés de manière différentes , assez excentriquement, et pour résumer , il se rends compte qu'il n'y a pas de portail dans ce parc, il ne peux pas sortir, et les gens qui cohabitent dans ce château ne se rendent pas compte qu'il est impossible de sortir ,il semblent s'en être accoutumé.A la fin , il parvient à franchir enfin le mur de clôture pour s'échapper et ce rendre compte qu'il se retrouve dans le parc et passe à nouveau devant le château. Les cohabitants le regardent passer devant eux plantés sur le perron. Et l'un d'entre eux dit aux autres :"Vous croyez qu'il a compris?" "Non,je ne pense pas, nous ne lui avons rien dit" Pendant que l'homme continue de traverser le parc pour (re)franchir le mur et repasser devant eux . Bon en fait à la fin les pompiers discutent entre eux après avoir vaincu l'incendie du château , le propriétaire a été retrouvé mort brûlé vif dans sa chambre. les personnes qu'il côtoie, sont tous les anciens propriétaires qui ont vécus à travers les époques. Ils sont morts hihi. Plus une histoire dans un hôpital psychiatrique et une histoire qui se passe dans un train, il était bondé mais au réveil du personnage , celui ci se retrouve seul et constate qu'il n'y a plus personne dans tout le wagon. Trois personnes dans tout le train se rencontrent et sont démunis face à ce mystérieux phénomène. J'ai pris vraiment du plaisir à écrire ces nouvelles. Bonne soirée, pardonne moi, j'ai du peut être t'envahir de mes mots,ou te saouler de mots. Bonne soirée Chocotean