Jean-Marc-Nicolas.G Le reclusoir d’Élisabeth de Beaupond. (La pénitente.) Les enfants du labyrinthe.

Les enfants du labyrinthe.

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8 commentaires

ossuripa

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Il y a 4 ans

Suite à la lecture d'une amie un jour de brunch sur les bancs de la fac d'un de tes chapitres, on te suit et c'est avec un bond que MOIIIiii je ne peux me couper l'envie de te laisser un message sur ce texte explosif qui file des coups dans le cœur de tristesse et les jetons et sans pouvoir échapper à cette dame noire, je voudrais bien qu'elle en finisse avec elle-même parce que selon moi en kidnappant des mouflets elle ne doit pas penser que ce n'est pas les siens. A moins qu'Elisabeth puisse s'en apercevoir mais là avec les draps partout il lui faudrait un sens divin ou une aide, y a personne qui peut enlever un drap ? Je ne vois pas qui peut faire un coup de pied dans la situation, même le capitaine est un peu overshoot!

Jean-Marc-Nicolas.G

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Il y a 4 ans

bonsoir Ossuripa cela me fait plaisir que tu m'écrives, je sais que tu me suis depuis un bon moment, mais tes commentaires sont rares alors merci de m'écrire ,le dénouement ne va plus tarder ,tu n'es pas loin de la vérité, on se suis, à bientôt avec plaisir.

Leoden

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Il y a 4 ans

J'avais quitter le navir, mais je viens de rattraper mon retard. Les deux derniers chapitres me redonne envie de voir ou tu vas m'emmèner. Qui est cette Mathilde, que lui est il arrivé ? Et contre qui elle défend ces enfants ? Ou à t-elle perdue l'esprit ?

Jean-Marc-Nicolas.G

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Il y a 4 ans

Matilda a perdue l'esprit en perdant la vie pendant la guerre de trente ans lors de la prise de la ville de Pilsen, mais je ne t"en dis pas plus.Merci de ton passage,toujours un plaisir de te lire.

HaliBerrah

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Il y a 4 ans

Je me réveille, je m'étire, je pars en cours en urge et le cours est annulé, donc avec un sourire non dissimulé je chasse les potes car de bons matin j'ai vu deux chapitres à lire, une fois installée dans un coin avec mon mug cartonnée de cappuccino bien crémeux et il faut le dire deux barres céréales bien sucrées, je parcoure tes deux textes avec l'appréhension de ma lecture (j'ai oublié mes mouchoirs, mais sauvée par la serviette en papier donnée par le Starbucks :)) Et je dois te dire qu'un grand sourire orne mon visage quand je vois cette répartition des actions à faire pour les hommes du capitaine suite à l'échange avec François, les enfants qui se serrent et cette course en relief dans ce dernier chapitre pour échapper à cette dame qui quand elle se rapproche les rend aveugles ça me plait trop quand j'imagine leur affolement et la vue qui bouge avec les pas de la mère qui n'est pas la leur mais vu son état je n'ai plus qu'à attendre le retour de tu sais qui, tu dois savoir quand et surtout à quel moment tu vas donner la suite comme je l'aimerais mais là encore je ne vais pas m'avancer car toutes mes idées seraient trop scabreuses. Sans m'avancer du tout, je vais finir ma boisson chaude et essayer d'attraper le prochain cours en douceur puisqu'une heure à attendre avant de me lever de l'endroit confortable où je suis (moins bon que ma couette XD)

Jean-Marc-Nicolas.G

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Il y a 4 ans

La suite va sans doute te plaire, compte tenu de tes goûts et de ma forme d'imagination qui est sont calées au meme niveau si je puis dire. Les mouchoirs? Ce n'est pas encore, mais ils arrivent.

Sand Canavaggia

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Il y a 4 ans

Pour moi qui angoisse dans les labyrinthe je n'ose te dire ce que la lecture a oppressé mon attention et tu ajoutes les yeux qui perdent la vue quand elle approche, une stade horrifique s'est emparée de moi...jusqu'au moment des yeux qu'elle prend de sa poche au bout des deux doigts de ses mains et regardent les enfants, j'ai dégonflé comme un ballon de baudruche avec un léger sourire inquiet quand même, puis la notion de ne jamais en sortir qui a plané tout le long mais se renforce sur tes derniers mots et la tension remonte en pic, je suis saisie par ce chapitre et oh la la que je me languis le prochain pour revenir au calme. Celui-là était indispensable car je place le "où ils sont?" ainsi que comment ils ressentent leur état avec une petite larme à l'œil pour le petit chien de chiffon fait par une maman qui s'inquiète. Tu accompagnes toujours chaque texte de beaucoup d'émotions et je dois avouer que cela entre complétement dans mon monde/lecture avec beaucoup de facilité sur cette fibre tellement humaine qui palpite dans chacun de nous. Merci de ton partage et surtout une bonne suite de ton écrit.

Jean-Marc-Nicolas.G

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Il y a 4 ans

Mais c'est un labyrinthe d'ou on ne sort pas, car les enfants ou toute autre personne se perdraient dans les méandres psychologiques de cet esprit malade. Pour la petite histoire, ils sont endormis dans une grotte depuis plusieurs jours et ce sont leur esprit qui sont prisonniers de ce labyrinthe mental.