Jean-Marc-Nicolas.G Le reclusoir d’Élisabeth de Beaupond. (La pénitente.) Et c'est le temps qui court.

Et c'est le temps qui court.

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6 commentaires

Sand Canavaggia

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Il y a 4 ans

Me voilà sur ce nouveau chapitre, j'ai voté, lu puis relu, que puis-je te dire qui n'a déjà été dit, je ne lis pas les coms mais arrivant ce jour après avec mon retard habituel malgré mes efforts pour vous lire tous dans les temps… C'est quand je lis des écritures ainsi présentée que je me dis qu'il est bon d'avoir des yeux qui ont cette faculté de se noyer dans des phrases, de pousser une âme à se retrancher dans son imagination comme un refuge où les mondes parcourus sont des passages vers des vies différentes où l'on prend corps avec les personnages. Depuis le début je te dis que je m'identifie à Elisabeth, bien sûr tu me diras "facile", oui j'avoue que s'identifier à une jolie femme qui se transforme en "métamorphe" par la douleur, c'est ce que je trouve si proche des intérieurs en blessure. Ce chapitre en est encore la preuve au travers de la perte (Hugo déjà parti mais que tu fais revenir, Marie, Yvette, son père qui l'appelle près d'eux, Marie François un au revoir,..) de ceux que l'on aime. Je continue ma lecture car je vois bien que tu vas perpétuer la douleur, le déclencheur, avant de réveiller Elisabeth dans sa forme de quête d'une justice...et me soumettre invariablement à ton écrit.

Jean-Marc-Nicolas.G

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Il y a 4 ans

Et c'est le temps qui court ,qui court, les gens que l'on a aimé, on vieillis, ils ont également changés, et puis ils ont disparus. Le monde d'autrefois avec.

chocotean

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Il y a 4 ans

Juste un mot à la lecture de ce chapitre :imparable! tu nous attaques au coeur à chaque fois! Tu es vraiment très fort pour susciter et faire vivre les émotions. On est devant un grand kaléidoscope de vies et tu les entremêles à volonté, croisant les histoires, le passé, le présent, les mondes et les temps. J'adore, je ne peux te dire que cela cher Jmng. Tu sais donner une âme, sensible, pudique et profonde à un être qui théoriquement ne pourrait être que malfaisant parce que perdu dans une dimension sans issue, et qui pourtant, nous colle aux tripes cette Elisabeth. J'attends, comme d'habitude la suite avec impatience. Merci encore une fois, de nous emmener avec toi, JMNG

Jean-Marc-Nicolas.G

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Il y a 4 ans

comment continuer à écrire sans avoir tes commentaires et ceux de mes autres partenaires, merci de me soutenir ainsi, ce n'est que du baume au cœur. Elisabeth est dans un chemin sans retour en arrière.

HaliBerrah

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Il y a 4 ans

Qu'un petit bout d'Elle, bon j'ai pris le torchon, t'as compris ! Ma mère m'a dit de prendre un bouquin XD :))

Jean-Marc-Nicolas.G

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Il y a 4 ans

Hahaha!! Quel genre de bouquin? Sur la fronde ? Sur la guerre de trente ans ? Non prends toi quelque chose de gai et de joyeux.