Jean-Marc-Nicolas.G Le reclusoir d’Élisabeth de Beaupond. (La pénitente.) Et c'est le temps qui passe.

Et c'est le temps qui passe.

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5 commentaires

Rose Lb

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Il y a 4 ans

coup de pouce !

chocotean

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Il y a 4 ans

15 années .. on le les voit jamais passer. Le temps file et nous on reste, que ce soit d'un coté du miroir ou face à son clavier... bravo JMNG, tu nous tiens en haleine, et on a hâte encore que revienne le soir, et que tu nous livres enfin la suite. Elisabeth est une amie qui éveille en moi une certaine nostalgie dans ce paragraphe. Comme si moi aussi, j'étais à coté de ma vie et je ne vois pas filer le temps. Beaucoup de sensibilité dans tes écrits ... mais gaffe aux fautes d'orthographe!!!! Je me dis que parfois tu dois écrire tard, et la nuit tous les mots sont gris. Pas grave, je suis accro à ton histoire

Jean-Marc-Nicolas.G

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Il y a 4 ans

Oui c'est exact, j’écris souvent la nuit. Il m'est arrivé de m'endormir devant mon clavier, assis. Puis de me réveiller devant l’écran qui s'est éteins. Il est trois heure parfois quatre lorsque je me décide a m'allonger, m'écrouler serait un terme plus adéquat. Je me relis plusieurs fois et je décèle à chaque passage des fautes et pas uniquement d'orthographe§ Je me suis encore relu mais bien entendu après l’édition de mes chapitres et là, horreur et damnation § Des fautes que je ne faisais déjà plus au CM2, Des fautes d'accord et de participe passé, des répétitions, des non sens. Mais il y a pire, moi qui connais bien la période XVIé XVIIé voila t'il pas que dans mon premier chapitre j’annonce Marie de Médicis épouse de Charles IX alors que c'est Anne d'Autriche. Mon Dieu quelle honte. Je me suis mordu la lèvre. Cet été j'e me suis lu Mazarin de Pierre Bordonove et un Louis XIII de Pierre Chevalier. les difficultés que rencontrent les deux hommes pour des raison un peu différentes mais néanmoins analogues pour "détrôner" Marie de Médicis de sa position de régente.Eh bien Marie a remontée le temps grâce à Jean Marc Nicolas. Alors que je fasse des fautes d'orthographe ne m'étonnent pas dans le cadre d'une personnalité distraite. Mais je te remercie de ta tolérance ,tu en plus que moi à mon égard.Merci de me suivre . La suite je l'ai écrite avec beaucoup d'amour et mes tripes, dis moi ce que tu en penses des que ce sera sortit.

Sand Canavaggia

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Il y a 4 ans

Je m'attendais à un retour dans leur présent et là j'ai comme une larme à l'œil en voyant les enfants grands (les mots de Bertrand) et le temps passé comme une table que l'on vide et que l'on trouve si "vide", tu laisses seule très bientôt Elisabeth, comme un pressentiment. Autour d'elle le temps passe mais elle ne change certainement pas...J'ai déjà un brin de nostalgie et j'imagine la lourdeur d'un secret tel que celui là où Marie protège les siens mais aussi un peu Elisabeth dont elle connaît les tourments. Et ce constat que nous faisons tous sur les années passées dont je reprends ta phrase qui me fait un pincement au cœur "Il s’est passé tant d’événements ces quinze dernières années."...Que va-t-il se passer pour ces années qui ont défilées et le temps qui s'en va inexorablement ? Merci de m'avoir donnée cette larme avant de fermer mon pc et que ton écriture puisse continuer, sans continuer à autant m'émouvoir, c'est dur le soir ;) (Petit clin d'œil, car c'est un plaisir de te lire)

Jean-Marc-Nicolas.G

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Il y a 4 ans

C'est ce qui nous arrivent à tous à un moment ou à un autre de notre vie. Comme pour reprendre une chanson de Alain Chamfort , "Et c'est le temps qui court", c'est d'une nostalgie. A un moment précis de notre vie, un beau jour, on se pose un instant, et on se rend compte que le temps est passé et que l'on ne l'a pas vu passer.