Jean-Marc-Nicolas.G Le reclusoir d’Élisabeth de Beaupond. (La pénitente.) Miracle chez les Montpensier.

Miracle chez les Montpensier.

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7 commentaires

HaliBerrah

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Il y a 4 ans

J'aime toujours autant. Je suis en version à block sur ton écrit.

Jean-Marc-Nicolas.G

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Il y a 4 ans

Je vais essayer de ne pas te décevoir, mais je suis très admiratif de croiser des personnes à crocs de lecture. C'est bien. Bon j'envois la suite, je vais être en déplacement jusqu'à mercredi mais ensuite tout repartira. Peut être si je peux terminer ce soir les derniers chapitres écris ,il faut le temps de les corriger. A bientôt alors?

Judy Cab's

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Il y a 4 ans

opération CHOUQUETTE à jour ^^

chocotean

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Il y a 4 ans

Cher JMNG, je me languissais de la suite. Ton écriture est imparable. Elle nous prend et nous emporte, et notre température baisse en même temps que celle de François. Mais si dame fantôme abandonne cet enfant dans cet état, elle n'en dormira encore pas. Et dieu sait que l'éternité doit être longue de l'autre coté du miroir. Alors, cher JMNG, je me doute que ta plume va être aussi efficace que la meilleure des magies, et que le petit François ne s'en ira pas :) En tout cas, merci pour ces belles lignes partagées

Jean-Marc-Nicolas.G

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Il y a 4 ans

Je me suis tellement régalé d'écrire ces deux derniers chapitres, je les ai écris cette nuit, tout était dans mon esprit ,alors ça a dévalé à grande vitesse si je puis dire. Mais j'ai passé ensuite beaucoup de temps dans la correction,et encore après avoir publié, voila t'il pas que j'en décèle encore deux. Mais bon pour les Anachorètes j'ai tout revu, tout passé au tamis. Je ferai de même avec Elisabeth De Beaupond. Tu vas voir la suite tu vas aimer. Moi en tous les cas je n'y trouvé que du plaisir et si je peux vous transporter dans mon monde alors je suis heureux. Merci pour ton soutien.

Sand Canavaggia

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Il y a 4 ans

Je suis ton premier com et ton premier vote, c'est bien la première fois que cela m'arrive :o mais je suis contente de reprendre ma lecture sur ce chapitre fraîchement édité, c'est difficile les suites de ces maraudeurs, le petit François à terre, Jérôme que l'on ne reverra plus et cette mère dans tous ses états et ses gens de maison si proches qui l'aident, un vrai climat aimant dans l'horreur de la situation. Un médecin qui arrive et explique rationnellement à un enfant que mourir est le verbe de ses derniers mots, c'est glaçant. "Mon petit Bertrand" dans un coin qui sermonne Elisabeth, comme un personnage imaginaire, ce qui en parenthèse est une caractéristique de l'enfance, dans ce cas de contact se matérialise en douceur… Quel beau chapitre encore, c'est de plus en plus émouvant entre le cheveu sur la langue de Bertrand, le courage de François et cette union sans limite de ces personnages - incluse Elisabeth bien sûr car elle fait corps avec les murs et ce petit Bertrand, seul à qui elle se dévoile pour l'instant… Merci de ce partage, bonne suite de ton écrit.

Jean-Marc-Nicolas.G

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Il y a 4 ans

Oui car au delà de l'amour il n'y a rien. Rien du tout que le néant absolu. Même dans les horreurs de la guerre, Même au sein d'une famille ou il y a souvent des jalousies, de la concurrence, de la concupiscence,des malentendus ,au moment ou celle ci est menacée,elle s'unit ,elle fait bloc contre l'adversité. Assez pour qu'un enfant , si jeune puisse se sacrifier pour son grand frère,assez pour que ce grand frère se sacrifie pour sa famille, assez pour qu'un fantôme s'interpose à une puissante entité qu'est la mort