Oh non pas le petit ! Ces hommes c'est vraiment des salopard, vivement de quelqu'un intervienne et leur rend l'appareil pour ce qu'ils ont fait. Des gaillards embrochés et rôtis à point !

Que c'est beau et horrible, je peux tout déplacer dans mon imaginaire et les images défilent avec la rapidité de mon regard. Jérôme que j'imagine sans les précisions, les détails que tu as laissé flou sur lui, je le vois s'effondrer et ce petit bonhomme François embroche celui qui menace les siens et a déjà fait du mal, c'est un peu comme les sœurs d'Elisabeth, un film qui recommence avec la douleur dans un cri de fond... Tu dégages tout le sordide de ces agressions qui rendent ton écrit fort d'une vérité, ce qui implique le simple lecteur que je suis avec toute mon émotion. Merci de ce partage, je continue ma lecture.