Ainsi donc le patron a de vrais problèmes d’argent et des petits secrets. Mmmh, ça commence à devenir intéressant tout ça. On se demande bien qui est à l’autre bout du fil ? Je le trouve par contre bien indulgent avec Laurie qui écoute aux portes. Se radoucirait-il ? Et Laurie n’a pas beaucoup d’expérience dans le commerce pour faire ainsi crédit à un parfait inconnu (aux jolis yeux noisette). Quelques petites fautes : « marmonne-je » => « marmonné-je » « allées et retours » => « allers-retours » « ses yeux me regarde » => « ses yeux me regardent »

La pauvre Laurie a le don de se mettre dans l'embarras envers son crétin de patron... J'espère que sa bonté ne la perdra pas. Je ne doute pas une seconde que Barbie pourrait l'assassiner sur le champ, sans dicussion, mais j'ose espérer que Ken a.k.a. Édouard saura se montrer un peu plus humain. Surtout que l'on comprend que sa mère est dans une maison de soins, ce qui le rend assez sensible. J'aime vraiment beaucoup comment tu mènes ton histoire. Évidemment, il y a une importante relecture à faire car il manque des mots et certaines formulations sont étranges, mais c'est un détail puisque cela se corrige aisément lors d'un réécriture attentive.

Et voilà, gagné ma chère Laurie !

Coup de pouce 😉

Aie aïe aïe .... Ca sent pas bon !

J'ai tout de suite eu la curiosité de savoir quel était l'objet du coup de telephone, donc les problèmes de sous ! Et maintenant elle propose à un client de ne pas payer ! Oulala, ça va créer des éclairs ça !

Oh merci à toi si tu as besoin 😉

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