Et voilà, la fatigue qui l’empêche de réaliser une journée normale, la grosseur qui n’est pas qu’un ganglion un peu surmené, on l’avait envisagé. C’est une terrible nouvelle qui l’attend. Elle qui ne vit que pour son corps devra apprendre à vivre avec cela. Tu as bien rendu sa peur en ne se regardant plus dans un miroir. J’ai déjà beaucoup plus de compassion pour Elisa. Va-t-elle en parler à son père ? Je ne crois pas qu’elle le fera immédiatement, pour lui éviter la peur de la perdre, elle aussi.

Oui on la voit différemment à présent.

Ce chapitre est bouleversant, on sent l'angoisse d'Elisa face à cette maladie qui a déjà emporté sa mère... On ne peut que compatir !

coquillette ;)

En trop, non ?

coquillette ;)

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