Le réveil est aussi brutal pour le lecteur, on ne s’y attend pas, et quand je dis qu’on ne s’y attend pas ce n’est pas dans le bon sens, c’est plutôt que la transition est inattendue, surtout que trois ans ce sont écoulés, ça rend encore plus dense le résumé de sa vie au chapitre précédent, dense et déroutant. Par exemple : Océane, où en est-elle de sa rééducation ? De sa vie ? Ma première impression est confirmée dans ce chapitre, tu répètes beaucoup de choses déjà dites dans le chapitre précédent. C’est un mal et un bien en même temps ; c’est un mal parce que ce sont des répétitions donc c’est lourd à lire, et c’est un bien parce que ça montre qu’il y a plusieurs emplacements possibles aux infos sur ton personnage, tu peux donc les distiller efficacement sans trop te prendre la tête sur les corrections de ton texte. Il y a toujours trop de répétitions. J’ai aussi eu l’impression qu’il y a un peu plus de fautes dans ce chapitre que dans le précédent. J’ai dû aller jeter un coup d’œil vite fait le chapitre suivant pour vérifier quelque chose. Mea culpa ! Oubli ce que je disais sur le « moi le premier ! » Je trouve que c’est une excellente idée de placer la mystérieuse demoiselle dans le staff et que Matthew ne s’y attende pas, et carrément qu’il ne la reconnaisse pas ! Cela dit, ça arrive un peu trop brutalement. J’aurais aimé qu’on voit un peu plus son rapport aux autres femmes, insister sur le fait qu’elle ne lui font qu’un effet moyen et qu’il n’y a qu’ELLE qui le rende dingue. Mais bon, ça se discute en fait. J’ai été perturbée au début, mais l’effet de surprise est très très efficace dans le fond. Ça rattrape bien le début du chapitre et ça donne envie de lire la suite. :D

Même chose, déesse est réservé à mademoiselle aux yeux d'or, ou alors c'est elle ?

Vraiment ? Qu'il veuille y fourrer son engin ok, mais le terme d'envoutement pour moi devrait être réservée à cette mystérieuse femme aux yeux d'or. De fait, oui, son fessier peut en envouter plus d'un mais ça ne devrait pas marcher sur Monsieur Patron, à mon avis tu devrais enlever le "moi le premier !" ou mettre une phrase à la place. Désolée par contre, je ne te conseille rien de plus précis parce que moi les personnages odieux ne me dérangent absolument pas, mais je sais que certaines lectrices n'aiment pas quand les hommes dépassent les bornes dans la vulgarité.

Je n'ai pas compris mais vu que je ne bois pas de café, c'est peut-être un mystère qui m'échappe :3

Ça sort d'où ça ?

J'aime bien, ça rejoint la remarque du dessus sur son besoin de toute puissance.

répétition du mot nuit

Petite remarque : ce passage tranche nettement avec un paragraphe du chapitre précédent où il se lamente sur son impuissance, en rapport avec l’accident de sa famille. Je trouve ça pas mal cette dualité entre l'homme-enfant vulnérable parce qu'il a perdu ses proches, et le business-man qui aime se sentir puissant et dominant (quand il parle des femmes c'est la même chose, ça mériterait d'ailleurs de renforcer ce trait, il fait quelques réflexions vulgaires mais ce n'est finalement pas si développé que ça, alors que c'est visiblement important dans sa personnalité).

répétition du mot calme, juste au dessus

Moi aussi je contemple Manhattan depuis mon canapé... (C'est le nom de mon chat :D)