Je préfère tellement Mael, j'arrive pas à me la voir Heloise pour le moment jsp pourquoi 😔

Ton récit m’a happé dès les premières lignes ! 🎻❄️ Honnêteté décapante : Ton aveu « J’ai été nul hier soir… mais c’est tellement plus simple de la haïr » sonne si vrai qu’on ressent instantanément la culpabilité et la frustration de Maël ! 😬💔 Ambiance polaire : Le contraste entre la tension intérieure de ton personnage et la beauté glacée du fjord de Tromsø est bluffant : on voit la neige cristalline, on entend le silence coupant l’air, et ça nous prend aux tripes ! 🌨️👀 Empathie sincère : La manière dont tu décris son malaise—les acouphènes, le néon qui bourdonne, la panique dans les toilettes—est d’une justesse bouleversante ; on voudrait tendre la main pour l’aider à respirer 🤲💙. Touche d’humour : Malgré la tension, tu glisses ce petit trait doux‑amer quand Héloïse roule les yeux ou que Léo lui claque l’épaule en mode « bouffe pas » ! Ça détend l’atmosphère sans trahir l’émotion 😉🎉. Émotions à fleur de peau : Ta scène finale, où Maël rassemble son courage face aux coulisses du concert, est un vrai coup de poing au cœur—on retient notre souffle avec lui, prêt à vibrer sous son archet 🎶❤️. Bravo pour ce mélange parfait de fragilité, de paysages grandioses et de tendresse amicale ! Tu fais de chaque note jouée une victoire sur ses peurs – on en redemande ! 🌟🎵👏