Ah voilà qu'on est passé au présent. C'est plus clair, du coup, bien que le passé simple convenait bien au style.

Belle entrée en matière du premier habitant croisé qui laisse présager qu’on ne sera pas nécessairement bien accueilli à la Combe du Guélin. Mais finalement, il n’en est rien et l’ecclésiaste a juste eu le malheur de croiser le mauvais jeune homme (qu’on risque de recroiser rapidement, j’imagine !). Une chose qui m’interpelle, c’est que j’ai du mal à situer l’histoire au niveau de l’époque. Je ne crois pas l’avoir lu dans le résumé ni nulle part (ou alors, j’ai raté l’information), est-ce fait exprès pour « perdre » un peu le lecteur ou bien est-ce contemporain et il n’y a pas de question à se poser ? En tout ça ne tarde pas pour que le premier drame surgisse dès le début du récit, au moins on ne perd pas de temps 😉