La description de la librairie est délicieuse : les bougies, les gens assis sur des coussins, le chat noir qui l’observe, les titres complètement absurdes et drôles — ça crée une signature visuelle très forte, presque un décor de film. On entre immédiatement dans une vibe “magie discrète mais bien présente”, sans jamais tomber dans la caricature. On croit en cet endroit parce qu’il est à la fois cosy, mystérieux et un peu bizarre.

Ce premier chapitre pose une ambiance immédiatement prenante : l’atmosphère d’Édimbourg, humide, nocturne, presque chuchotée, colle parfaitement au sentiment de fuite intérieure de Philomène. Le contraste entre la ville froide, la valise lourde comme un passé encombrant, et la librairie chaleureuse éclairée aux bougies fonctionne très bien. On sent que tu joues volontairement sur ce basculement entre réel et étrange, et ça accroche tout de suite.

J’ai adoré! Hate d’avoir la suite 🙂❤️