cette fin d'extrait suscite beaucoup de questions :)

Chapitre touchant. On espère que, grâce à l'affection de ses parents, l'héroïne pourra surmonter ses cauchemars.

J'aime bien la langueur que tu mets dans ton récit, ça intensifie la sensation de souffrance qui se dégage de ton héroïne. J'ai remarqué quelques incohérences (ne le prends pas mal, surtout) mais : -Quand elle parle de la douleur à sa cuisse, elle dit qu'elle fait abstraction de la douleur tout en souhaitant en être anesthésiée. Pour moi, c'est un peu un non sens. Si elle en fait abstraction, c'est qu'elle la tolère en quelque sorte. Ou alors, faut-il mieux préciser ton idée. - Son père est tous les dimanches en repos ? Parce que pour quelqu'un qui travaille à l'hôpital, ça me semble peu probable. Sans y etre tous les weekends, nous avons des roulements de garde de sorte qu'il y ait toujours du personnel à l'hôpital, y compris le dimanche et la nuit. Voilà les deux seuls points sur lesquels j'ai bloqué, après avec les 7000 caractères imposés, tu as peut-être dû couper certaines explications où j'ai tout simplement mal lu ^^

Deux

D'une des chambres

Peut-être le remplacer par "là" pour éviter la répétition 😜

Il manque un "si" je pense. "C'est comme si Noël..."

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