Cette ouverture m’a happée. L’affrontement silencieux entre Harrisson et sa mère est d’une tension incroyable. On sent toute l’injustice contenue, l’obligation héritée, la colère qu’il étouffe pour ne pas exploser devant tous ces témoins. La répétition intérieure de Mooira fonctionne hyper bien, ça martèle l’idée qu’on lui impose quelque chose de personnel, intime, presque violent.
Lady Maggie est fascinante. Autoritaire, stratège, presque inquiétante dans sa façon de justifier chaque manipulation par “le bien de tous”. On comprend qu’elle aime son fils, mais d’une manière glaciale, calculatrice…
Je suis très curieuse de savoir ce qui se cache derrière Mooira. Un mariage arrangé ? Une alliance stratégique ? Un secret plus sombre encore ?
2 commentaires
Aurélie C. De Wasme
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Il y a 2 jours
GabriellaVaresotto
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Il y a un jour