Les surnoms employés pour désigner Nael sont super, parce qu’ils nous mettent dans la peau de la maman, on sent tout l’amour et l’affection qu’elle porte pour son fils, et sa résilience dont elle fait preuve malgré l’horreur que semble lui faire vivre son compagnon, et ce depuis l’annonce de la grossesse. Tu montres que Nael semble bien contrôler ses émotions, et ça me fait de la peine car je me demande s’il arrive à les contrôler car il sent la menace de son père… Enfin, peut-être que ce n’est pas ce que tu veux dire mais je l’ai ressenti comme ça !

Par contre, ça m’a brisé le cœur quand Vincent a refusé le bisou de son fils, même si le petit ne le voit pas de cette façon. Encore une fois, tu me fais passer par toutes les émotions possibles et imaginables, et c’est troublant, beau, triste, et j’en passe. J’ai beaucoup aimé la série de « Il comprendra que », qui permet, je trouve, de casser les paragraphes et de donner un rythme qui change. Et les mots employés à la fin (sur leurs vacances) ont une très belle résonnance. On sent que Caelin en a marre de cette vie, et j’espère qu’elle sera bientôt prête à en partir !

Peut-être en effet ! Tu as raison c'est intéressant :)

Le passage où ce père indigne refuse de dire au revoir à son enfant est particulièrement déchirante... Et émouvante pour Caelin et son fils.