Quelques erreurs d'ortho, sans importance. Attention au rythme de tes phrases à cause de leur longueur, n’hésite pas à les couper. Vu que tu cites coup sur coup V. Hugo, puis Mauriac (paradoxal d'oser sortir " Le mépris de l'homme est nécessaire à qui veut user et abuser de l'homme." ), je ne suis pas étonnée de retrouver ce style à la mode XIXe siècle avec un souhait de composition lyrique dans ton écriture. Toutefois, ne tombe pas dans les écueils d'alourdir les phrases inutilement, ça manque de fluidité, voire risque de perdre la compréhension. Quant au personnage, tu mets l’accent sur son côté favorisé (donc on comprend que l’argent n’est pas un problème), mais je suis plus étonnée que ses parents soient si coulants envers son attitude, et encore plus qu'elle dit " école de la rue ", quand elle a un précepteur particulier ^^". Disons que les parents favorisés sont, en général, très exigeants envers leurs progénitures avec des droits - certes - mais aussi des devoirs.

Je me suis mise à la place des parents, et bonjour l'angoisse ! Mais cette petite fille m'a l'air bien téméraire, ça promet en grandissant :)