Germain me fait de la peine on voudrait l'aidé, mais je suis sur que Louise va tout faire pour… encore un chapitre avec beaucoup d'émotion. tu arrives vraiment a nous transmettre tout cela avec fluidité et facilité. Bravo!

Et oui, tout le monde craint Germain, mais dans le fond c'est quelqu'un de très bien, qui cache juste qui il est :)

malheureusement encore de nos jours...

Le pauvre Grmermain !

C'est un chapitre émouvant. Franchement Germain est touchant. Les conditions étaient tellement difficile à cette époque. Heureusement Louise est quelqu'un de bien. Je crois qu'ils peuvent devenir meilleurs amis aussi.

Une petite précision ici : le sort des homosexuels en France, même pendant l'occupation, est différent de l'Allemagne nazie. En effet, le code pénal adopté après la révolution française "permettait" les relations en privé entre adultes consentants. Même si les lieux fréquentés par les homosexuels étaient souvent contrôlés par la police ensuite, ce n'était pas passible de la peine de mort. Le régime de Vichy a durci la loi mais juste pour punir d'emprisonnement et d'amende toute personne de moins de 21 ans qui s'adonne aux pratiques homosexuelles et toute personne de plus de 21 ans qui a "corrompu" un mineur de moins de 21 ans. Donc en théorie, ce n'est pas passible de la peine de mort. Maintenant en pratique, je suppose qu'il y a sans doute eu des tortures ou des exécutions d'homosexuels mais sous couvert d'autres motifs.

En fait, je ne fais pas référence à ça de manière "pénale", ni "judiciaire". À l'époque, l'homosexualité n'était pas bien vue, que ce soit en public ou non, et beaucoup d'homosexuels sont morts. Même si ils n'ont pas été exécutés, ils ont tout de même été lynchés et battus à mort : du coup, c'est ça que j'ai sous entendu. Que malgré le fait que la France ait été moins "dure", ça n'a jamais empêché des gens d'en tuer d'autres parce qu'ils les savent homosexuels (un peu comme aujourd'hui, quoi) 😭

ok d'accord. mais ce serait peut-être bien de le préciser ?

Oui, j'ajouterai certainement quelques lignes pour approfondir la pensée de Louise :)

le "que" est bizarre ici. On dirait du coup que la phrase n'est pas finie. Ou alors il est en trop ?