Encore un super chapitre. Après le précédent où on était dans l’action, celui-ci est plus doux et empreint d’une certaine mélancolie, sûrement dû à l’évocation de la mère disparue. Laurena a probablement reconnu la bête qu’elle voit dans ses visions oniriques, raison pour laquelle elle ne souhaite pas prendre part à son emprisonnement. Je pensais que tu approfondirai un peu leurs “retrouvailles” en tête à tête en parlant encore du lien dont elle fait mention à plusieurs reprises, mais ce n’est qu’un petit détail (c’est personnel,je ne critique pas, la scène est super). Tu m’as fait ressentir beaucoup de sentiments différents en quelques lignes : le début était haletant, puis quand elle prend son frère dans ses bras, j’ai été (moi aussi) rassurée. Vient le père et là, ma colère contre lui monte… et à la fin (oui oui Madame la Reine des fins plus de suspense), je n’ai qu’un hâte, c’est lire la suite. Histoire passionnante, je le répète. Merci pour ton partage !