C'est vraiment intéressant la manière dont tu abordes leur premier contact. On voit bien que la gène chez Kells quand a la nudité de Le'inah est dû aux normes que lui connait. De plus, le contact a la fin semble avoir beaucoup d'importance pour elle, comme si elle savait quelque chose qu'on ignore. Bon, c'est bien le cas mais ça amène bien ton intrigue. Nous nous posons de plus en plus de questions sur ce que ce monde de glace peut cacher. Je parierai sur des trésors. 😊

tout est bon, dans l'araignée-givre. Avec le sang on fait du boudin, avec les soies des pinceaux, avec LA soie des vêtements, avec le venin de la gnôle, avec les oreilles de la gélatine, avec la tête du pâté aux fines herbes...

Quoi, seriez vous en train d'insinuer que l'auteur use et abuse de ces créatures pour expliquer la présence d'alcool dans son monde ? Le message est passé, j'peux mieux faire :)

Non je trouve ça logique. Chaque population a son machin local d'élevage dont il exploite jusqu'au dernier poil. Les chameaux dans le désert, les yak dans les hauts plateaux, les lamas dans les andes, les cochons dans les villages d'armorique, les bisons dans les grandes plaines... si l'araignée-givre est ZE bêbête locale adaptée au climat, c'est plutôt logique de tout bouffer. (m'enfin berk quand même)

goûté

Merci pour le repérage de coquille ♥

en termes d'ambiance, je sais pas, j'ai l'impression d'un mélange entre Kafka et Cronenberg

Carapils ou Jupil-or aussi :D

Mais merci pour le commentaire, ce ne sont pas des piliers de comptoir que tu cites ♥

je n'avais jamais vu ce mot, il est plutot sympathique