Et le petit dej ? 😱 Plus sérieusement, ce chapitre était super bien rythmé je l’ai lu d’une traite et je ne m’attendais pas à la fin 😅 !! J’ai été surprise parce que je pensais retrouver Raphaëlle (à moins que ce ne soit elle la fille en nuisette) mais ce Julian est pas mal aussi. Il fait très humain avec sa lâcheté qui rattrape son envie de « faire les choses bien » avec sa chérie. Mais du coup j’ai plein de questions. Pourquoi il doit la quitter ? Pourquoi il détruit son tel ? Si c’est vraiment l’amour de sa vie, sa meilleure amie etc… pourquoi ne pas au moins tenter de lui expliquer les choses par message ou par écrit s’il n’a pas le courage de lui dire à voix haute ?
Lydie Perez
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Il y a 3 mois
Paraît que tu le sauras au cours du roman 😂
MATKAPRIM
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Il y a 3 mois
Hey ! Au final, quand j'observe le synopsis de votre histoire, ça l'air de se dérouler dans un univers Dorcel. C'est pire que la mienne ! 😂😂😂😂 Sinon, votre premier chapitre est très intéressant. 👍🏿👍🏿👍🏿👍🏿
Lydie Perez
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Il y a 3 mois
Pire je ne sais pas 😂😂
Anthony Dabsal
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Il y a 3 mois
1/ Salut Lydie, tu voulais un CDDA chez toi ! Voici un CDDA chez toi. Je te dis comment je procède : je ne lis pas prologue, pitch, TW, tag. Je me cantonne uniquement à ce qui est dans la narration principale. Je fais mes commentaires au fur et à mesure de la lecture. En général, je pose des questions (beaucoup de question). En revanche, si j’en viens à donner mon avis, je cherche toujours à étayer avec des arguments. Le but de tout ça, c’est que tu aies un retour « en direct » de ce que peut penser un lecteur qui chipote beaucoup ! XD Allons-y !!!
Anthony Dabsal
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Il y a 3 mois
2/ Alors (pas taper ! XD), mais ton premier paragraphe ne me parle pas du tout. Techniquement, les phrases sont intelligibles, il n’y a pas de faute, pas de tournure alambiquée. Par contre, il y a de nombreuses tournures emphatiques : « Je ne peux pas partir comme ça [...] », ou encore « Je n’en peux plus […] ». Or, bien que cela soit dramatique, il n’y a pas vraiment d’image concrète, pas vraiment d’émotion incarnée. Avec ce type de tournure, ça me fait poser la question : est-ce que ton prologue est bien en dehors de la narration principale ?
Anthony Dabsal
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Il y a 3 mois
3/ Je m’explique : comme tu commences par une ouverture purement introspective et dramatique, je m’attendais vraiment à avoir un ancrage. Ne serait-ce qu’un « genre » ou un « nom » sur lequel m’accrocher. Ou pourquoi pas un contexte. Mais ici, je ne sais ni qui parle, ni où, ni quelle est la situation. Ce ne sont pas « les choses », « la situation », « la dead-line », qui m’éclairent. Après, si j’ai bien compris nos discussions tu écris sur un genre que je ne connais as très bien. Alors, prends des pincettes sur ce que je raconte.
Anthony Dabsal
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Il y a 3 mois
4/ En vrai, je pense que pour garder le côté mystérieux (dans le style thriller-like) (ah, et encore une fois, ce n’est que mon avis, pense à toujours recouper les avis ^^ ), il faudrait que le narrateur pour « cette situation est insupportable » ou encore « j’ai lamentablement échoué » incarne ces moments. Pour la première, ne serait-ce qu’une série de gestes ou même de sensations ancrée diégétiquement et ça ferait largement l’affaire. Et pour la seconde juste rajouter un détail qui donnerait un premier indice sur quoi il ou elle a échoué. Qu’en penses-tu ?
Anthony Dabsal
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Il y a 3 mois
5/ De « Le froid mordant de cette matinée […] » à « […] trop parfaite et la gâcher de la sorte me tue. » La première chose qui me saute aux yeux ce sont les questions rhétoriques. ( «Mais comment pour-rais-je lui expliquer ? Comment pourrait-elle comprendre ? Que vais-je lui dire ? Et surtout, comment vais-je vivre sans elle ? »). Je vais à mon tour poser une série de questions sur ces… questions XD La première : pourquoi en avoir mis autant ? Car, il y a 6 questions rhétoriques en tout sur moins de 200 mots (à vue de nez), n’as-tu pas peur que cela fasse beaucoup ? En général, une ou deux questions rhétoriques, je trouve, que ça permet de créer une tension intérieure et donc d’apporter de la nuance ou du sel à un personnage.
Anthony Dabsal
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Il y a 3 mois
6/ Mais, avec autant, j’ai bizarrement trouvé ça vite circulaire. Tu vois ce que je veux dire ? N’as-tu pas peur que trop de questions finissent par diluer l’émotion au lieu de la renforcer, voire de rendre creux les émotions du narrateur ? Et si j’emploie le mot creux, ce n’est pas pour paraître dur ou critique à outrance, mais c’est qu’il se flagelle lui-même en ce sens : « Mon cœur saigne », « une douleur atroce », « une loque, un zombie », « les larmes me montent aux yeux ». Il ressasse qu’il souffre, qu’il est perdu sans « elle », sans sobriété dans son émotion.
184 commentaires
Fruit_Pixel
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Il y a 3 mois
Lydie Perez
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Il y a 3 mois
MATKAPRIM
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Il y a 3 mois
Lydie Perez
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Il y a 3 mois
Anthony Dabsal
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Il y a 3 mois
Anthony Dabsal
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Anthony Dabsal
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Anthony Dabsal
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Anthony Dabsal
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Il y a 3 mois
Anthony Dabsal
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Il y a 3 mois