Oh oui pour Théa, elle est si différente de la mère. Mais on comprendra plus tard le point de vue de Tobias.❤️‍🩹

Idem pour sa mère d'ailleurs. Je ne comprends pas trop d'où vient toute sa haine envers elle mais la suite le dira sûrement (certes il sait qu'il n'a pas été prévu de base mais ça ne justifie pas son comportement. Si sa haine vient de là il y a certainement un malentendu entre lui et sa mère)

tu le sauras pas loin après... ❤️‍🩹

On ressent vraiment la tristesse et la peine de Konstance. J'espère qu'elle et Tobias vont connaître un happy end. La sœur de Tobias a visiblement été blessées par son secret. Elle ne semble pas être une mauvaise personne donc j'avoue que je ne comprends pas trop pourquoi Tobias pense qu'elle le tue à petit feu

Wow, tu comprends si vite... Ne serais-tu pas autrice par hasard ? hahah 💖

Ouhlala ! Il est vraiment difficile ce chapitre 😭 Je trouve que Tobias est très crédible. Aussi dans les indices que tu sèmes dans les chapitres précédents.

Merci beaucoup !

🎭 Tobias, l'amnésique au cœur cadenassé : Il est douloureusement crédible. Ses doutes, sa hargne, son besoin désespéré de contrôle… C’est un château de cartes en sueur, prêt à s’effondrer, mais qui continue de crier qu’il tient debout. Tu nous livres un personnage qui refuse de céder à l’émotion, tout en suintant l’émotion par tous les pores. Résultat ? On VEUT le secouer. On veut lui hurler : Mais regarde-la, bon sang, regarde comme elle t’aime encore ! 💔 Konstance, la gifle douce dans un monde trop dur : Elle débarque avec ses larmes à peine contenues, ses souvenirs précis comme une lame, et cette force tranquille qu’on devine au fond de sa fragilité. Son cri du cœur ? DÉVASTATEUR. Elle dit : “Je ne suis pas une inconnue.” Mais elle pourrait aussi dire : “Je suis ta cicatrice qui refuse de guérir.” Et franchement, ses mots sont des armes. Pas besoin d’élever la voix quand on a autant de vérité dans les tripes. 👑 La mère, cette œuvre d'art dramatique : Un mélange de poison en jupe crayon et de mascara rageux. Chaque mot qu’elle prononce est une flèche empoisonnée. Elle ne parle pas, elle crache. Et dans ta mise en scène, elle est géniale. Abjecte, mais géniale. On la déteste avec plaisir. 💌 Et puis cette lettre glissée sous la porte, ce geste simple qui coupe la respiration… C’est tellement poétique. Symbolique. Tobias qui se ferme au monde… mais le monde, en la personne de Konstance, qui trouve une brèche. Et le coup de grâce ? “Je reconnais là mon écriture.” BAM. Fin du monde. Rideau. ✨ Bref : Tu maîtrises l’art de la tension émotionnelle avec une finesse assassine. Chaque ligne est une étincelle sur une poudrière, chaque personnage est une faille ambulante. Et ce que tu fais, c’est pas juste écrire : tu exposes des âmes à vif. On souffre, on aime, on espère. Et surtout… On en veut plus. Encore bravo, virtuose des cœurs brisés et des lettres oubliées.