Chapitre lu d'une traite ! :) j'ai hâte de découvrir la suite, je m'attache de plus en plus à tes personnages 😁

Encore un chapitre bien construit. Tu m’as vraiment baladé d’une hypothèse à l’autre, et c’est ce qui le rend si captivant. Au départ, j’ai pensé que le malaise de Lise venait principalement de son inquiétude pour Tina. Mais lorsque Antoine aborde le sujet de sa rupture, je me suis laissé surprendre à croire que cette blessure l’avait égratignée bien plus qu’elle ne veut l’admettre. Finalement, en revenant à sa conversation avec Tina, il devient clair que c’est peut-être elle qui occupe vraiment ses pensées. Ce va-et-vient reflète bien la complexité et les nuances du personnage de Lise. J’ai aussi trouvé intéressant la manière dont elle semble projeter ses propres angoisses sur Tina. Est-ce une façon d’éviter de se confronter à ses propres blessures ? Ou bien Tina devient-elle une sorte d’exutoire, un moyen de détourner son attention pour ne pas avoir à affronter ses propres failles ? Cette dynamique entre elles est fascinante et donne beaucoup de profondeur à leur relation. Antoine, de son côté, joue un rôle très précieux. Sous ses airs légers et ironiques, on sent sa véritable inquiétude pour Lise, et il essaie doucement de l’amener à s’ouvrir. Mais elle reste fidèle à elle-même, gardant tout en elle, comme pour se protéger. Il apparaît presque comme son miroir masculin, un alter ego plus en paix avec ses propres émotions. Voilà mon impression à chaud, un chapitre riche en émotions et en nuances qui m’a vraiment plu ;)

J’aime bcp la complexité de Lise, elle protège Tina et Antoine à sa façon. On comprend ses fêlures et son point de vue… je comprends maintenant ton résumé… ce cher Lucas va devoir ramer dur pour réussir à briser cette armure. J’aime bcp aussi le lien entre sa rupture / le sexe/ Tina/ le prologue. Ça nous montre que son passé imprime ses actions et ses pensées. C’est très bien mené ♥️

Je ne sais s'il faut que je suppute qu'un événement l'a marqué ou si c'est son fonctionnement de base. Quoi qu'il en soit, elle souffre plus que ce qui apparaît et tu le fais bien ressortir.