Gottesmann Pascal Dans les pommes Au réveil

Au réveil

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Carazachiel

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Il y a 5 mois

Question : si Guillaume ne la voit que comme une invitée, pourquoi lui avoir fait prendre TOUTES ses affaires chez elle ? Attends-tu de tes invités qu'ils ramènent tous leur appartement ?La conversation est une très bonne idée pour qu'ils fassent connaissance. c'est sur ce genre de chose que tu devrais les faire se rapprocher plutôt que sur les "impressions" de Blanche ou une agression. Ça te permet aussi d'en dire un peu plus sur ton monde et son évolution, c'est bien ! Il te suffit de bien doser ce qu'ils disent, la manière dont ils le disent et c'est bon !

Carazachiel

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Il y a 5 mois

Le paragraphe suivant est problématique aussi. "La force de résilience de mon amie me rend tellement fier d’elle. N’importe qui serait au fond du trou, moi le premier, mais elle est juste combative." Donc, si elle avait été au fond du trou, il aurait été déçu? Je pense que ta gestion de l'agression et de l'après agression est à revoir. D'autant que si Blanche gère sans souci cette agression, comme si c'était un caillou dans sa chaussure, elle n'a pas la moindre raison de venir habiter chez Guillaume.

Carazachiel

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Il y a 5 mois

Je rebondis sur un élément évoqué par Blanche dans le chapitre précédent : on a tous les deux notre intimité. Mais en fait, Blanche n'a aucune intimité si dès que Guillaume va dans son salon, il tombe sur elle. C'est le premier jour, ça se comprend qu'il n'ait encore rien prévu pour, admettons. J'espère que tu as prévu d'aller acheter un paravent ou autre. En revanche, s'il n'a pas de chambre pour elle : pourquoi lui proposer de venir habiter avec lui ? Enfin... lui " imposer". Tu ne fais pas emménager quelqu'un chez toi pour le reléguer dans ton salon sans aucune intimité.

Carazachiel

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Il y a 5 mois

Tu retombes ensuite dans le travers... du physique. Encore. À un moment plutôt inapproprié si tu veux donner de Guillaume l'image d'un homme safe. Te rends-tu compte que tu le présentes un peu comme un prédateur ? Il suit Blanche, n'intervient QUE pour se poser en sauver, la fait venir direct chez lui, s'assoit au bord de son lit et louche sur sa poitrine. Gros gros red flag. Je suis sincèrement étonné que personne ne te le fasse remarquer sur Fyctia, parce que si ton livre était édité, tu te ferais défoncer par les chroniques.

Carazachiel

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Il y a 5 mois

Pour ne rien arranger, Guillaume " masque l'objet de tentation". Deux problèmes ici : 1, ni Blanche ni sa poitrine ne sont des objets. 2, ce n'est PAS Blanche ni sa poitrine le problème ici, c'est que Guillaume, apparemment, ne sait pas se contrôler. Remonter le drap sur elle, en plus d'être un geste intrusif, c'est valider l'idée que lui est dans son bon droit de ressentir ça puisque Blanche et son physique sont le problème. Je peux comprendre qu'il soit troublé, ça arrive. Tu peux même garder ce trouble ici, why not, dans le respect (même si je pense que c'est un peu tôt dans ton intrigue), mais Guillaume a juste à partir, sans rien faire d'autre et encore moins "accuser" Blanche.

Carazachiel

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Il y a 5 mois

Encore une fois, le degré d'intimité dans les conversations ne correspond pas à leur degré de "connaissance" dans leur vie. Guillaume ne va pas appeler une totale inconnue "Ma Blanche", c'est malaisant. Et ça devrait la mettre, elle, mal à l'aise. Tout comme Blanche ne devrait pas flirter comme ça après avoir vécu une agression. On dirait qu'elle l'a déjà oublié. Aussi, Guillaume s'adresse à elle comme je m'adresse... à mes enfants. "Allez, retourne dormir, là, c'est comme s'il était trois heures du matin". Non, il ne doit PAS l'infantiliser.

Carazachiel

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Il y a 5 mois

Avoir un objet porte-bonheur, c'est OK. Le double souci ici, c'est le côté subit et le fait qu'elle lui parle comme à un animal. Si tu atténues ça pour en faire une sorte de porte-bonheur dont elle a besoin depuis des années, ça passe. Je te conseille aussi de ne pas prendre une poupée "blanche-neige", mais plutôt une poupée à l'effigie de quelque chose de rassurant pour elle. Limite le doudou qu'elle avait choisi quand elle était bébé. Tu n'es pas obligé non plus de le laisser chez ses parents, s'il est chez elle et qu'elle l'a gardé à ses côtés, on comprendrait mieux son attachement à l'objet !

Carazachiel

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Il y a 5 mois

Que Guillaume vienne la voir avant d'aller se recoucher est très bien, ça montre de lui un côté protecteur, certes, mais respectueux et surtout attentif à ce qu'elle peut ressentir. En revanche, qu'il s'assoit sur le bord du lit est un peu intrusif. Pour la première fois, la poupée est utilisée de manière cohérente. En revanche, pourquoi Guillaume l'appelle-t-il Mini-moi aussi ? Ce n'est qu'une poupée d'une de ses connaissances qui est adulte. Il n'a aucune raison de l'appeler par " son surnom".

Carazachiel

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Il y a 5 mois

La conversation qui suit : c'est en effet normal que Blanche fasse des cauchemars, et c'était attendu. En revanche, encore une fois, tu évoques Arabella de manière incongrue. C'est de son agression qu'on attend que Blanche parle. C'est son agression qui aurait dû la traumatiser ! C'est très bien, d'ailleurs qui Guillaume en parle. Plus étonnant que Blanche ne rebondisse pas dessus ( même pour dire qu'elle ne veut pas en parler) et soit obnubilée par Arabella. À ce stade, ton héroïne semble juste être instable, un brin paranoïaque aussi, et complètement obsessionnelle entre la poupée et Arabella. Et c'est dommage.

Carazachiel

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Il y a 5 mois

La manière dont Guillaume parle de Mini-moi, encore une fois, n'est pas cohérent avec le "passé" de la poupée. Si tu veux que Blanche soit attachée à une poupée de cette manière sans que cela ait un côté malsain, il faut que tu revoies complètement cet arc. Ne pas prendre une poupée détestée qu'elle prend sur un coup de tête, mais un objet important pour Blanche depuis l'enfance, un objet qui lui a déjà servi de nombreuses fois pour le réconfort. Ce n'est pas compliqué à changer, mais ça limiterait déjà le côté malaisant.