La montée du trip est vraiment bien rendue. Les couleurs qui virent, les sons qui deviennent trop présents, l’ambiance qui se distord… on sent que ça glisse, mais pas d’un coup, juste assez pour que ça mette mal à l’aise.
J’aime aussi la dynamique entre les trois. Zoé qui passe du chagrin à la panique morale, Noah en mode mouais-powered, et May qui alterne entre enthousiasme scientifique et absence totale d’instinct de survie. Ça fait vrai, c’est drôle sans en faire trop.
Et la culpabilité de May... pas juste “on teste pour le fun”, il y a vraiment quelque chose qui pèse derrière ? Ça donne envie de voir jusqu’où ça va les emmener.
2 commentaires
Aurélie C. De Wasme
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Il y a 2 jours
Judith Scarten
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Il y a 2 jours