C'est peut être moi qui n'a rien ressenti, mais depuis le début de ton histoire, je ne ressens pas vraiment d'émotions dans ton texte... Même dans ton deuxième chapitre, quand on voit les deux rescapés de l'attaque parler, il n'y a pas une once de panique, pas d'inquiétude. Au mieux, on sait que l'un d'eux est perplexe, mais je n'ai pas l'impression qu'ils viennent de survire à une attaque divine qui a grillé deux de leurs compagnons. Même si ce sont des professionnels qui ne montrent pas facilement leur peur, ils auraient pu avoir un moment de trouble, ou tu aurais pu exposer ce qu'ils ressentaient... Et même si on a affaire à des divinité, j'ai trouvé le roi et le prince assez mous... Je sais, c'est de la royauté, et tout, mais on aurait dis qu'on leur avait pompé leurs âmes! Le seul moment vivant, c'est quand le roi a crié à son fils de revenir! Désolé, je n'essaye pas de te plomber, j'aime ton histoire, tu commences à nous peindre une intrigue prometteuse avec le baron qui conseille au prince de raser une partie du pays sans réfléchir, mais tu ne développes pas assez ce que ressentent tes personnages. Je sais, tu m'as fait le même commentaire dans ma première partie du prologue, mais non seulement il n'y avait pas de moment où je pouvais faire ressortir les émotions de mes personnages, mais c'est aussi un choix que j'ai fait et que tu comprendras une fois que tu auras lu la fin de la seconde partie du prologue.

Dans ce cas, c'est une bonne chose que tu ai commencé à me lire... Je ne suis pas un maître en la matière, mais tu vas voir quelques chapitres où il y a des scènes qui ont été applaudis pour ça, justement... Je penses qu'en voyant comment je fais, tu auras des idées...

bien

Le tutoiement est bizarre, vu qu'il a toujours vouvoyé son fils, ce qu'il refai juste après...

supportent

aviez

demandé

avez

conçue