On est toujours dans la tension avec ce chapitre ! La clé qui se bloque, la réaction inattendue de la porte au blast... Les pensées de Phanélie envers Fren sont toujours bien décrites. Et tes descriptions toujours très visuelles et immersives donnent vie à l'environnement du ferromoteur. Je me suis donc plutôt bien imaginé les lieux. Bien joué d'ailleurs pour la comparaison du ferromoteur à un serpent à la fois poétique tout en restituant l'atmosphère sombre et industrielle de ton univers :) La fin de ton chapitre est efficace, la clôture qui se referme, l'obscurité, je trouve que ça représente bien le voyage vers l'inconnu dans lequel Phanélie (et tous les autres d'ailleurs) viennent de s'embarquer pour de bon !

Merci pour ton retour, les descriptions, j'aime beaucoup les écrire, sauf ce n'est jamais évident de retranscrire ce que j'ai dans la tête alors qu'il s'agit d'un monde imaginaire - je trouve le défi passionnant. Je vois ce que je pourrai améliorer à la réécriture, mais c'est tout de même encourageant que tu aies déjà un avis globalement positif sur cette première version.

C'est possible...

bonne idée ! (et c'est comme ça qu'on remarque ses tics de langage)

C'est vrai que la phrase porte à confusion maintenant que je la relis, je pense que je voulais dire autre chose : qu'il avançait vers la tête du ferromoteur (donc la locomotive) mais je vais revoir ça.