Message final de clecle

Avec ce nouveau chapitre, tu fais monter le mystère d’un cran de plus puisque Phinalphie ne l’a pas connu mais qu’elle apprend que sa mère aurait pu lui donner des infos. Je comprends qu’elle se sente un tantinet trahie. Mais était-elle sûre de l’âge de son interlocuteur ? Parce qu’après tout, cela pourrait être justement ce dernier. Le fait qu’aucun bruit qui provienne de ton personnage est étrange et a de quoi faire flipper. En revanche, qui doit-on croire ? Sa mère qui maintient coûte que coûte qu’elle ne sait rien de plus ou ce mystérieux interlocuteur qui pense l’inverse ? Bien joué !

C'était un point important ici, comme tu l'as perçu : semer le doute sur qui dit la vérité entre ces deux personnages et amener le lecteur à douter tout comme l'héroïne.

J'ai cru m'arracher les cheveux avec cette idée, mais si ça ferme certaines possibilités comme miser sur les dialogues, les mots et la parole pour le/les personnages silencieux, ça ouvre d'autres perspectives. Leur silence s'impose sur les objets alors pour œuvrer en toute discrétion, c'est l'idéal ! Et puis il a fallu chercher d'autres moyens de communication.

Les demi-frères et soeurs sont grands, ont leur propre famille et Phanélie, elle, vit seule avec sa mère. Je verrai pour être plus précise à ce sujet ^^

Il faut explorer d'autres moyens d'expression et de communication. En fait, voilà, c'est un peu tout le défi de cette première partie : imaginer comment un personnage peut vivre dans cette condition pendant six ans et les effets psy que cela peut avoir.