La scéne de l'arrestation est sobre, la manière dont Aubéline perçoit chaque d"tail crée une atmosphère de vertige intérieur, comme si le réel lui même se déréglait. Mais Aubéline est trop calme à mon goût et les frères même pas un mot 🤣

Je suis juste une passagère, expulsée du mensonge, et livrée aux conséquences. Une très belle phrase

merci de tout mon coeur

Je suis un peu partagée sur ce chapitre. L’ambiance est forte, et les émotions des personnages secondaires sont très bien rendues, tout comme les descriptions du décor. Mais je ne sais pas ce que traverse vraiment le personnage principal dans un tel moment et dans ses interactions. Elle est dépassée, sûrement, mais il m’a manqué des réactions plus incarnées : des gestes, des expressions, des hésitations. Par exemple, face à Mark, elle interprète son regard, mais ne réagit pas — ni physiquement, ni intérieurement. Avec Ed, pareil : aucune trace de gêne, de gratitude, ou même d’un simple mouvement qui trahirait une émotion. Et quand elle monte dans la voiture, pas de soupir, pas de tremblement. On s'arrête sur ce qu'elle voit mais pas sur ce qu'elle ressent, son trouble, la panique, le désespoir, la honte ? Là, malgré la gravité de la situation, j’ai été amusée de savoir qu’elle s’était déjà fait griller.

Merde ! Elle s’est déjà fait choper…

On a hâte de lire la suite...