METIS
Je pense donc j'écris. Penser est une souffrance, la plume, un anxiolytique. J'écris pour briser mes chaînes, j'écris pour exister. Parce qu'écrire c'est être immortel. Ecrire, c'est tordre l'espace temps. Abandonner les réponses, savourer la torture du questionnement.
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